Hier, Moyoko avais l'air ailleur, elle regardais dehors.
de temps en temps, avec un regard pensif, elle tournais la tête, regardais la chambre de gauche à droite, puis de droite à gauche, pour retourner a la fenêtre.
Je me suis d'abord inqiété, puis lui aie demandé au bout de 3h lui est demandé ce qui se passait.
"Elles me manquent... elle me suivent... je ne les retrouves que dans les songes... Je les attrapes... Elles s'envoles... Comme des papillons en soif de libertée...je les cherches...Depuis toujours...En vain...Ces fragments de lumière...Ces éclats d'obscuritée...Mais elles m'échapes toujours...Comme de la poussière d'étoile..."
Ces paroles étaient douces, comme le murmure d'une rose dans le creux de l'oreille...
Ces paroles étaient tristes, comme la violettes que l'on écrase avec son sabeau de plume...
Ces paroles étaient un appel, un appel au mystère...
Elles à plongée dans un profond sommeil, puis m'a racontée son histoire:
"Comme dans un rêve... "
"Sur Ükai...Nous étions des orphelines, orphelines de la vie...Nous étions des ames en peine, recherchant le bonheur...Je ne sais plus vraiment combiens nous étions, peut être dix, peut être vingt... Ou plus...Chacune ayant un passé étrange, nous nous passions bien des remarques inutiles...Un jours, les tenebres et le paradis se séparèrent, et nous fûment séparées, pour nous retrouvés dans des endroits differents, au quatres coins de Ükai pour nous retrouver dans des mondes bien differents... Pour nous réunire, il faut qu'une humeine nou rassembles, et recréer enfin l'enfer des ténèbres dans le paradis des lumières..."
Elle marquas une pause, se rendormis, et dans son rêve elle me murmuras "veut tu connaitre mon histoire"?
Je répondis ce que n'importe qui aurais répondue, je lui glissa un leger "oui" et elle se réveilla...
"Un jour, je me rendis dans une forêt, j'étais à cette époque une demoiselle tout à fait banal, lorsque un passant m'offrit une rose..."Ne parle pas au inconnus" me disait mère...Je lui fit "non" de la tête et partis...Il insista, me arcela jusque dans le bois, pour m'offrir cette rose noire qui, je ne le savais pas, contenait oute la haine du monde. Polie, je l'acceptais, quand, soudains, un démon entra en moi. Je n'étais plus qu'une ame déchue, quand je vis des jeunes demoiselles, qui avais elles aussi un passé étrange...mais avant de les rejoindre, un démon me soufflas "Tu as accepté le présent d'un inconnu, après l'avoire reffusé poliment...mais la rose était une fleur du mal, te voilas donc condamné à jamais, avec d'autres âmes perdue... Un oeuille vert, pour ton innocence, un oeuille rouge, pour ton âme condané, la rose que tu as avalée..."
"Et il disparut"...
"scelle tu le pacte, humaine?"
"Bien sure"
"Alors, soit..."